Tougaux est de sortie mondiale !

Tougaux VintageÇa y est ! Il est là. Tout frais, tout chaud, Tougaux… Le clip de ça va d’aller est enfin sur les ondes, ce matin/midi/soir sur un site officiel flambant neuf que vous pouvez voir  (ICI => www.freddytougaux.be <= LA), sur lequel il est possible de commander le single en ligne et sous forme de 45 tours « Collector-Vintage ». Pour saluer la sortie de cet ovni musical, nous avons demandé à David Greuse, le comédien qui incarne Freddy Tougaux, de nous donner ses impressions sur le tournage du clip, qui a eu lieu début février, et que nous vous avions décrit ici.

La Louvière Dynamique : Quel regard jettes-tu sur ce tournage ?
David Greuse : « Dans l’ensemble, c’était une gageure de tourner tout le clip sur deux jours. En même temps, le travail était balisé. Tout était minuté, tant par Thierry (Espasa, le réalisateur) que par Sarah (Bachelart, son assistante). On a respecté ce minutage, comme par enchantement. »

Freddy Tougaux Clip #2LLD : Comment l’as-tu vécu ?
D.G. : « Lors de chaque scène, je ne voyais rien. Enfin, pas tout. J’entendais les commentaires du manager et du directeur technique. Ils étaient emballés par les images. Personnellement, je me suis rendu compte de la qualité des images quand j’ai reçu le premier montage du clip. Le travail sur la lumière était assez pointu. Ça a pris du temps, mais on a des ambiances particulières sur chaque scène. Et puis, il y a eu le travail de Nicolas, le monteur, et Thierry qui était retourné avec les rushes à Marseille pour l’étalonnage. C’est ce qui fait qu’on a eu une cohérence graphique. »

Freddy Tougaux Clip #1

LLD : Qu’est ce qui t’as marqué ce jour-là ?
D.G : « La participation active de tous les figurants. On a tourné la première scène, dans l’administration communale, avec beaucoup de collègues qui se sont prêtés au jeu avec le sourire. Et puis, la deuxième, dehors, avec des figurants à qui l’on a fait répéter les scènes dans un froid sibérien, entre deux averses de grêle. Tout le monde a été génial à tel point qu’au bout du compte, c’est le public qui te dit merci. Pareil le lendemain, dans le Palais de la Bière, avec beaucoup d’amis et puis les Vedettes, qui se sont prêtées au jeu. Tout le monde répond bien à l’état d’esprit du clip. Et quand je croise les gens qui ont participé, ils sont repartant. Il y a une vraie impatience. En espérant que tout le monde soit comblé, parce qu’il y a des gens que l’on ne verra pas. »

LLD : Quelle est la suite ? Y’aura-t-il un petit frère à « ça va d’aller ? »
« La tentation est grande. Ça a tellement bien marché de manière spontanée que ce serait dommage de gâcher cela. Ce qui m’a allumé, c’est la forme musicale, alors que je ne suis peu ou pas du tout musicien. Il ne faut pas tomber dans le piège. Si ça vient, ça sortira. Il n’est pas impossible de voir un petit frère, voire deux ou plus. Ça doit être une excroissance musicale des capsules video. Un mec qui fait le tableau d’une journée. Je n’ai aucune prétention philosophique, mais chaque trace est un témoignage du quotidien. A partir du moment où l’artiste s’amuse et où il est sincère, le public s’amuse aussi. »

Freddy Tougaux Clip #1LLD : Et le travail avec l’équipe de King of Comedy ?
D.G. : « On est toujours sur le fer chaud de ça va d’aller. Il faut taper avec notre petit marteau sur notre grosse enclume (rires). On doit aller jusqu’au bout. Exploiter toutes les facettes. On a envie de s’attaquer au monde. Freddy Tougaux est un Don Quichotte de l’Internet qui s’attaque à des causes absurdes. Un combat mondjal. Le personnage commence d’ailleurs à vivre en dehors de l’Internet. J’ai déjà testé deux scènes. Un café-théâtre et une soirée dédiée à des Awards de la publicité au Luxembourg. Ça a marché et cela me donne une motivation supplémentaire pour faire quelques sorties avec Freddy. J’espère que d’ici un an on aura de la matière à pouvoir montrer. »

David participera à l’émission radio les Enfants de chœur, sur Vivacité, le 17 mars prochain, avec Jérôme de Warzée, James Deano, Walter, Bruno Coppens et Eric de Staercke. Et avec Thierry Espasa, il continue sa collaboration en vue de l’écriture du scénario d’une grande histoire filmée. Mais ça, c’est une autre histoire.

Fab

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