Archives pour l'étiquette beauté

Image

La Louvière en clair obscur

Place MaugrétoutLa place Maugrétout, dans la quiétude automnale d’un soir d’octobre. Un clair obscur. Un instant de poésie. Un arrêt sur image. Juste comme ça en passant pour vous montrer la beauté de La Louvière. Il suffit parfois d’ouvrir les yeux. Ou de changer de perspective pour mieux voir ce que le quotidien nous fait prendre trop souvent pour de la banalité.

Texte et photo : Fab

Richard Gilmont, des visages, des figures

Une seul regard et c'est la vie qui s'immobilise

Ainsi, la beauté naquit d’une fontaine. Sentiment subjectif d’une vision fugace, un mirage, quelque part entre l’éternel et l’éphémère. Fruit des amours entre l’état d’esprit et l’humeur du moment. Perchée au bord de la vasque d’eau claire, une femme, nue, nous fixe, insistante; presque inconsciemment, elle interpelle notre capacité à nous émouvoir des belles choses, attire notre regard. Mais lorsque l’on tente de s’accrocher au sien, elle paraît distante, froide, sans vie, immobile. Statue de sel pétrifiée par quelque sort. Encore un coup légendaire de la Méduse… Un seul regard et c’est toute une vie qui s’immobilise devant nous. Instant d’éternité figé dans le « petit granit ». Continue la lecture

Galerie

Richard Gilmont, tailleur de pierre

Cette galerie contient 20 photos.

100 Portraits dans la ville

Elle est étrange, cette ville. La Louvière. On a souvent affirmé qu’elle souffrait d’un déficit d’image, qu’elle était un paradoxe. Par moments d’une laideur indescriptible; à d’autres, d’une beauté surréaliste. Impossible d’être nuancé : tous ceux qui y passent, transitent, l’aiment ou la détestent. Mais lorsqu’ils s’arrêtent et rencontrent ses gens, tout à coup le courant passe. Car elle est là, la beauté de cette ville qui se refaçonne à coups de pelleteuses : les Loups. Ses habitants. Des témoins. Ou plutôt non, des générations de témoins d’un passé industriel florissant, avant la décrépitude économique.

Continue la lecture