Dans le blanc, il n’y a rien. Du moins le pense-t-on quand on le regarde. Pas de couleur. Juste un éblouissement qui fait plisser les yeux lorsque la lumière heurte la rétine. D’une feuille blanche, l’on retire pourtant l’angoisse de l’écrivain qui ne parvient pas à la remplir. Le blanc véhicule des émotions. CQFD. Et lorsque, comme le sculpteur espagnol Bernardi Roig, l’on parvient à insuffler la vie à des sculptures immaculées, on tient le sommet d’un art. Un art entre onirisme et surréalisme, qui tient à la nature même de l’homme. L’Oeil du connaisseur, c’est cette exposition qui est visible jusqu’au 26 mai au Musée Ianchelevici de La Louvière. Continue la lecture
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