Le temps, ce facétieux, espiègle et frondeur.
Fuyant, souvent pressé, il court, il court.
Jamais ne s’arrête.
À peine pensiez-vous le rattraper qu’il s’éloigne de vous comme un aimant repoussant l’autre.
La fin de l’année est déjà là, vous ne vous en étiez pas rendu compte ?
Vous avez du retard dans l’achat de vos cadeaux?
Vous n’avez pas encore pu rédiger vos cartes de voeux ?
Vous n’avez pas encore souhaité vos voeux à vos amis les plus chers.
Il n’est qu’une seule cause à tout cela.
C’est le temps qui vous manque.
Pourtant, le temps est là, devant vous,
il fait les cent pas d’impatience,
espérant que vous le héliez pour le prendre.
Peut-être attendez-vous qu’on vous le donne ?
Ne faites pas cette erreur :
Si vous attendez, le temps file,
et ne demande pas son reste.
Comme s’il était en retard sur lui-même.
À le rattraper, vous vous essoufleriez.
Il suffit juste de le prendre, au bon moment.
Ni trop tôt. Ni trop tard.
Juste au bon moment.
Comme le câlin du matin et le câlin du soir. Continue la lecture